Le football fait l’objet d’un étonnant paradoxe : en dépit d’une place sociale et culturelle centrale, il a longtemps été ignoré par les sciences humaines, sauf par quelques « afficionados ».
Aujourd’hui, ce dédain que lui témoignait la recherche académique appartient au passé.
Phénomène multidimensionnel s’il en est, le football est désormais étudié sous différents angles : historiens, sociologues, anthropologues, économistes… tous veulent refaire le match…
Le séminaire Football et sciences sociales aura cette année pour thème : « Les footballeurs entre institutions et marchés ».